La Vague Et La Cloche

El Ola Y La Campana

La Vague Et La Cloche

Una vez, aplastado por una bebida potente
Une fois, terrassé par un puissant breuvage,
Soñé que entre las olas y el ruido
J'ai rêvé que parmi les vagues et le bruit
Desde el mar navego sin linterna en la noche
De la mer je voguais sans fanal dans la nuit,
Remero aburrido, ya no tener esperanza de la orilla
Morne rameur, n'ayant plus l'espoir du rivage

El océano estaba escupiendo sus babas en mi frenta
L'océan me crachait ses baves sur le front,
Y el viento me congeló de horror en el interior
Et le vent me glaçait d'horreur jusqu'aux entrailles,
Olas colapsadas, así como paredes
Les vagues s'écroulaient ainsi que des murailles
Con este ritmo lento que el silencio interrumpe
Avec ce rythme lent qu'un silence interrompt

Entonces todo cambió
Puis tout changea
El mar y su negro cuerpo a cuerpo hundido
La mer et sa noire mêlée sombrèrent
Bajo mis pies se derrumbó
Sous mes pieds s'effondra
El piso del barco
Le plancher de la barque

Y yo estaba sola en un viejo campanario
Et j'étais seul dans un vieux clocher,
Cabalgando con rabia una campana agitada
Chevauchant avec rage une cloche ébranlée,
Abrazé al criarse obstinadamente
J'étreignais la criarde opiniâtrement
Convulsivo y cierre en el esfuerzo de mis párpados
Convulsif et fermant dans l'effort mes paupières,
El estruendo hizo las viejas piedras
Le grondement faisait trembler les vieilles pierres,
Así que siempre estaba activando el swing pesado
Tant j'activais sans fin le lourd balancement.

¿Por qué no dijiste, oh sueño, donde Dios nos guía?
Pourquoi n'as-tu pas dit, ô rêve, où Dieu nous mène ?
¿Por qué no dijiste si no terminarían?
Pourquoi n'as-tu pas dit s'ils ne finiraient pas
El trabajo inútil y el ruido eterno
L'inutile travail et l'éternel fracas
¿Qué es la vida, por desgracia, la vida humana hecha?
Dont est faite la vie, hélas, la vie humaine ?