Anna

Oye, Anna

Anna

El pico de un pájaro en una cereza es lo que Anna esconde debajo de su camisa donde a veces sin gritar de mala fe mi mano se va astringingEn este pueblo encaramado que huele a mentaDice que Anna y yo que estamos saliendo es consciente de que con el pájaro nos besamos como dioses bajo el barril aunque ella veces los puso en su ventanaLa nariz al viento de la noche debe reconocerLos pechos tenían antes de que ella me los dio nunca los sostenía en la mano de nadieY esas piernas que ella muestra los llevo a mi cuello ella no está conUn solo beso es suficiente para uno para adivinar que el niño que consumía vitaminasEn un muy caliente tarde en mi habitación me parecía. Timidemais cuando su vestido se rompió a su solaUna flor apareció a su alrededor cuando las rodillas al cielo se ofreció en un grito dijo que mamá se detuvo cuando finalmente su modestia se desmayó Ella bendijo todas las vigasUn pico de pájaro en una cerezaEsto es lo que Anna esconde debajo de sus camisasNosotros, que a veces sin gritar Gareen mala fe mi corazón se extravía cuando ella viene a mi nariz y mi Barbese puso todo desnudo Yo la miro Creo que el buen Dios y Shakespearee incluso el fútbol se puede hacer en la aldea enclavada en la nubeAlgunos celosos gritaron al espejíy para engañarlos no es pienNunca visto en un mapa
Un coup de bec d'oiseau sur une ceriseC'est ce que cache Anna sous sa chemiseSous laquelle parfois sans crier gareEn toue mauvaise foi ma main s'égareDans ce hameau perché qui sent la mentheOn dit qu'Anna et moi qu'on se fréquenteMais nul n'ignore en fait qu'avec l'oiselleOn baise comme des Dieux sous la tonnelleBien qu'elle leur mit parfois à sa fenêtreLe nez au vent du soir faut reconnaîtreSes seins n'avaient avant qu'elle me les donneJamais tenu dans la main de personneEt ces jambes qu'à tout venant elle montreJe les prends à mon cou elle n'est pas contreUn seul baiser suffit pour qu'on devineQu'enfant elle consomma des vitaminesPar une après-midi des plus torridesDans ma chambrette elle me sembla timideMais quand sa robe chut à ses semellesUne fleur apparut tout autour d'elleQuand les genoux au ciel elle s'est offerteDans un cri elle a dit maman arrêteLorsqu'enfin sa pudeur est passée outreElle a béni des pieds toutes les poutresUn coup de bec d'oiseau sur une ceriseC'est ce que cache Anna sous sa chemiseSous laquelle parfois sans crier gareEn toue mauvaise foi mon cœur s'égareQuand elle vient à mon nez et à ma barbeSe mettre toute nue je la regardeJe me dis que le bon Dieu et ShakespeareEt même le football peuvent se faire cuireQuand au hameau niché dans les nuagesQuelques jaloux ont crié au mirageEt pour les détromper c'est pas de la tarteJamais on ne l'a vu sur une carte